Excentricités : rencontres internationales de la performance.

Plus de trente performeurs durant trois jours et sur trois lieux.

dimanche 21 mars 2010

Déjà Vu

Deux pièces jumelles séparées par une cloison mitoyenne vitrée horizontalement à plus d'un mètre du sol.
Une de ces pièces est inaccessible au public, tout ce qui en parvient est une transmission endirect du son amplifié, et tout ce qui est visible au travers du vitrage.
Un moniteur placé du côté spectateur fait également "lien" avec la scène située dans la pièce isolée.
Sur le mur principal faisna tface au public, dans le fond de la salle, une photographie est projetée présentant un autoportrait de deux personnes, échelle 1, dans un lit face à un miroir.
Dans une extension de cette projection au sol, ces deux mêmes personnes discutent sous un drap avec des lampes torches. Leur voix est amplifiée dans la pièce du public et demande aux spectateurs s'ils sont là. Or le dispositif sonore ne permet pas de retour dans le huis clos.
Dans le moniteur, Emilie Grandjean et Audrey Gleizes se demande si la performance st en train de commencer.
La discussion des deux filles sous le drap tourne au jeu. Elles commencet à scander une anaphore, "elle est morte, elle est morte".
elles se lèvent au bout d'un moment et désignent leur propre portrait dan la projection en répétant toujours "elle est morte". Cette phrase se décline encore sous différents tons que ce soit chanté avec des voix innocentes ou posé de manière interrogative, sans jamais aucune conviction ...

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